Même petit, un déchet est un déchet !
[:fr]Ce mardi, une nouvelle campagne de sensibilisation à la propreté publique débute en Wallonie, ciblant les « petites incivilités du quotidien ».
A l’instar des petits ruisseaux qui font les grandes rivières, les petits déchets, mis bout à bout, encrassent véritablement nos rues et bords de route.
Pendant deux semaines, affiches et vidéos sur les réseaux sociaux sensibiliseront les wallons au respect d’une règle de base de la propreté publique : ne pas jeter ses déchets par terre.
Des caméras cachées mettant en scène 3 acteurs de la Ligue d’Improvisation déguisés en « petits déchets » seront diffusées sur les réseaux sociaux dans ce même objectif:
Objectif de la campagne
Menée à l’initiative du Ministre wallon de l’Environnement, cette campagne a pour objectif d’ « éviter la banalisation de la malpropreté issue de toutes ces « petits incivilités », comme jeter son mégot, un chewing-gum, un petit emballage ou encore une canette par terre ».
L’état de la propreté publique en Wallonie justifie pourtant de rappeler que rien ne se jette au sol, pas même un petit déchet.
Pour illustrer ce message de manière humoristique, une campagne d’affichage a été imaginée autour des 3 déchets les plus régulièrement ramassés dans les rues et bords de route avec l’idée que si un seul déchet jeté par terre peut paraître anodin, une accumulation de déchets sauvages impacte très lourdement notre cadre de vie.
Pour symboliser cette problématique, un homme se retrouve coincé par des centaines de déchets dans un panneau d’affichage. Mal à l’aise, coincé, il se retrouve submergé par les déchets qu’il a lui-même généré.
Pour inverser la tendance, en rue comme à la maison, ayons le bon réflexe, mettons nos déchets à la poubelle ! Il est de la responsabilité de tous de veiller à garder l’espace public propre.
Des caméras cachées et des affiches !
Cette nouvelle campagne de sensibilisation à la propreté publique se déclinera de la manière suivante du 18 octobre au 1er novembre :
- 250 affiches dans les abribus wallons et des insertions dans la presse écrite / Capsule du making-off des affiches
- 20 bus du TEC floqués aux couleurs de la campagne
- Un affichage digital dans 5 grandes gares wallonnes : Liège, Namur, Charleroi, Mons, Tournai .
L’affichage digital est réalisé sur le modèle du trompe-l’œil. Le passant croit voir son environnement dans l’encart du panneau digital. Il s’agit en réalité d’une vidéo tournant en boucle et représentant la gare qui se remplit progressivement de déchets. Une façon ludique de rappeler aux voyageurs qu’un déchet en attire souvent bien d’autres.
- Diffusion de vidéos des caméras cachées sur les réseaux sociaux.
L’impact de la malpropreté
Si les déchets sauvages ont un impact sur notre environnement, ils ont également des répercussions au niveau économique et social. Souvent, les lieux sales deviennent des endroits où les personnes n’aiment plus se rendre et se sentent mal à l’aise. En impactant notre cadre de vie, la malpropreté impacte également notre qualité de vie.
Les incivilités en matière de propreté publique coûtent cher. Chaque année, une part non négligeable des budgets communaux est engloutie dans le ramassage des déchets sauvages et des dépôts clandestins dans nos villes et villages (le long des routes, aux abords des abris de bus, le long et dans les cours d’eau).
[:de]Ce mardi, une nouvelle campagne de sensibilisation à la propreté publique débute en Wallonie, ciblant les « petites incivilités du quotidien ».
A l’instar des petits ruisseaux qui font les grandes rivières, les petits déchets, mis bout à bout, encrassent véritablement nos rues et bords de route.
Pendant deux semaines, affiches et vidéos sur les réseaux sociaux sensibiliseront les wallons au respect d’une règle de base de la propreté publique : ne pas jeter ses déchets par terre.
Des caméras cachées mettant en scène 3 acteurs de la Ligue d’Improvisation déguisés en « petits déchets » seront diffusées sur les réseaux sociaux dans ce même objectif:
Objectif de la campagne
Menée à l’initiative du Ministre wallon de l’Environnement Carlo DI ANTONIO, cette campagne a pour objectif d’ « éviter la banalisation de la malpropreté issue de toutes ces « petits incivilités », comme jeter son mégot, un chewing-gum, un petit emballage ou encore une canette par terre ».
L’état de la propreté publique en Wallonie justifie pourtant de rappeler que rien ne se jette au sol, pas même un petit déchet.
Pour illustrer ce message de manière humoristique, une campagne d’affichage a été imaginée autour des 3 déchets les plus régulièrement ramassés dans les rues et bords de route avec l’idée que si un seul déchet jeté par terre peut paraître anodin, une accumulation de déchets sauvages impacte très lourdement notre cadre de vie.
Pour symboliser cette problématique, un homme se retrouve coincé par des centaines de déchets dans un panneau d’affichage. Mal à l’aise, coincé, il se retrouve submergé par les déchets qu’il a lui-même généré.
Pour inverser la tendance, en rue comme à la maison, ayons le bon réflexe, mettons nos déchets à la poubelle ! Il est de la responsabilité de tous de veiller à garder l’espace public propre.
Des caméras cachées et des affiches !
Cette nouvelle campagne de sensibilisation à la propreté publique se déclinera de la manière suivante du 18 octobre au 1er novembre :
- 250 affiches dans les abribus wallons et des insertions dans la presse écrite / Capsule du making-off des affiches
- 20 bus du TEC floqués aux couleurs de la campagne
- Un affichage digital dans 5 grandes gares wallonnes : Liège, Namur, Charleroi, Mons, Tournai .
L’affichage digital est réalisé sur le modèle du trompe-l’œil. Le passant croit voir son environnement dans l’encart du panneau digital. Il s’agit en réalité d’une vidéo tournant en boucle et représentant la gare qui se remplit progressivement de déchets. Une façon ludique de rappeler aux voyageurs qu’un déchet en attire souvent bien d’autres.
- Diffusion de vidéos des caméras cachées sur les réseaux sociaux.
L’impact de la malpropreté
Si les déchets sauvages ont un impact sur notre environnement, ils ont également des répercussions au niveau économique et social. Souvent, les lieux sales deviennent des endroits où les personnes n’aiment plus se rendre et se sentent mal à l’aise. En impactant notre cadre de vie, la malpropreté impacte également notre qualité de vie.
Les incivilités en matière de propreté publique coûtent cher. Chaque année, une part non négligeable des budgets communaux est engloutie dans le ramassage des déchets sauvages et des dépôts clandestins dans nos villes et villages (le long des routes, aux abords des abris de bus, le long et dans les cours d’eau).
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